mercredi 23 mai 2012

Clément Petit sera canidat du PFE sur la 1ère circonscription de la Marne


Clément Petit sera canidat du PFE sur la 1ère circonscription de la Marne
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vendredi 16 décembre 2011

Les USA attaquent l’euro : le déclin européen organisé depuis Washington.

L’Europe a un ennemi, et il est puissant. Elle doit songer à s’unir politiquement pour  pouvoir le combattre. C’est maintenant clair, les USA ne feront pas de cadeaux à l’Europe. Rigueur, dégradations de notes, taux d’emprunts excessifs, et future restructuration du FMI, tout est orchestré depuis les Etats-Unis. C’est une guerre à  laquelle la France ne survivra qu’au prix d’une fédération européenne. 

Le but ce ces attaques est clair : démanteler la zone euro afin de faire des USA le refuge des investisseurs en capitaux, et ainsi relancer l’économie américaine sur le dos des efforts budgétaires Européens.  En 2010, le conseiller économique d’Obama Paul Volker parlait déjà d’une future « désintégration de la zone euro ».  De fait aujourd’hui les investisseurs quittent l’Europe, mercredi dernier, l’euro est passé sous la barre des 1,3 $ pour la première fois depuis longtemps.


Les Etats-Unis sont en réalité allés bien plus loin que nous dans la « crise de la dette ». Mais sans aucune conséquence sur leur économie.

Le 4 Juillet dernier, l’Etat du Minnesota a fait faillite. Cela n’a pas déclenché de vent de rigueur sur tout le continent américain. Pourquoi ? Les Etats-Unis sont un Etat Fédéral. Cela empêche la contagion entre Etats. Et surtout le budget fédéral, qui a renfloué le Minnesota, est financé par la planche à billet de la Réserve Fédéral américaine.

Aujourd’hui, la récession durable des Etats Européens est organisée par les deux principales agences de notations, qui sont américaines.  Ces agences jouent avec les Etats nationaux en faisant spéculer les marchés sur des dégradations de notes décidées depuis longtemps en haut lieu. Alors que la France est chargée chaque jour de s’expliquer sur ses comptes publics, jamais un mot de ces agences sur les 15 000 milliards de dollars de dette américaine. Selon la propagande officielle, les Etats-Unis auraient perdu leur triple A cet été. En réalité l’Etat Fédéral Américain emprunte à sur les marchés à 2%, contre 3% pour la France et son soit disant triple A.


Que font nos gouvernants ? Ils nous livrent comme de la chair à canon à l’agresseur américain.

En refusant à la BCE la possibilité de refinancer les Etats, les dirigeants de la zone euro nous mettent entre les griffes du FMI, ou les USA sont majoritaires. En refusant le fédéralisme budgétaire, ils font de nous la proie de Moody’s et de Standard & Poor’s. En refusant le fédéralisme politique, ils accomplissent la transition autoritaire du continent-marionnette que nous devenons.

L’ennemi vient de l’ouest. Il nous faudra au moins un Gouvernement Européen unique, puissant et légitime pour survivre à ses agressions brutales. C’est peu de dire que ceux qui nous gouvernent jouent « petit bras » dans cet affrontement.

vendredi 25 novembre 2011

Sommet de Strasbourg: ils abandonnent l'Europe à la crise pour rester souverains.

Ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas. La crise de la dette atteint maintenant l'Allemagne. Déjà le 23 novembre, l'emprunt obligataire de la dette souveraine allemande s'avérait être davantage pénalisant pour les citoyens européens d'outre-Rhin. Cette alerte met les choses au clair, l'Allemagne sera, à terme, touchée par la crise qui ronge aujourd'hui les Etats du sud de l’Europe.

Preuve est désormais faite de ce que nous pressentions et craignions, tous les pays Européens sans exception se dirigent vers une grave crise de la dette. Contrairement à ce que prétend régulièrement la propagande souverainiste, l'Allemagne n'est pas une valeur-refuge. En d'autres termes le FMI devra bientôt appliquer à tous les Etats de l’UE, les règles drastiques qui mettent aujourd’hui à genoux la Grèce.

Face à ces perspectives tragiques, que proposent les dirigeants de la zone euro ?
Rien ou presque rien.

Lors du sommet de Strasbourg du 24 novembre, M. Sarkozy a à peine masqué son impuissance. Il confirme que l'Etat français est bien trop petit et bien trop faible pour faire seul, face à la crise.
À vouloir conserver certaines décisions politiques sous souveraineté française et non les transférer à une autorité européenne démocratiquement élue, Nicolas Sarkozy nous livre progressivement à la dictature du FMI.

Quant à Angela Merkel, elle a mis à profit ses derniers jours de crédibilité, avant la diffusion de la crise en Allemagne, pour défendre une fois de plus des options court-termistes et nationalistes.
Alors que l'Europe est frappée par une crise déflationniste qui menace à tout moment de se transformer en grave récession, tandis que la rigueur étouffe la croissance, Angela Merkel s’entête à défendre la mission obsolète de la BCE : la lutte contre l'inflation.

Les trois dirigeants européens se sont montrés extrêmement vagues en proposant « d'éventuelles modifications » aux traités européens, modifications sur lesquelles les peuples ne seront, bien évidemment, pas consultés.

Le Parti Fédéraliste Européen affirme qu’entre crise et rigueur, il est urgent de prendre des mesures de grande ampleur :
-       la Banque Centrale Européenne doit devenir une banque fédérale,
-       un budget commun à toute la zone euro doit être mis en place,
-       une Constituante à fédérale doit émaner du Parlement européen.
-       un Gouvernement européen unique doit être instauré

mardi 8 novembre 2011

Création du Parti Fédéraliste Européen : toujours une antenne en Champagne-Ardenne

Le Parti Fédéraliste et Europe United ont mis leurs forces en commun pour fonder le Parti Fédéraliste Européen en ce Dimanche 6 Novembre 2011.

Dans un contexte de crise de la dette qui frappe durement les citoyens européen, le but de cette nouvelle formation est de mettre en place sans délais un Etat Fédéral Européen, capable de répondre aux problèmes actuels. Pour cela, cette nouvelle force politique d’ampleur européenne  présentera des candidats lors de toutes les élections en Europe, avec à chaque fois le même projet.

Le Samedi 5 Novembre, plusieurs experts sont venus présenter leurs idées et ont montré la nécessité d’un fédéralisme européen et les limites des Etat-Nations. 
M. Marco Pannella  – ancien MEP, député, sénateur italien et collaborateur d’Altiero Spinelli – a notamment fait part de sa grande expérience d’activiste fédéraliste et de sa volonté de participer comme membre actif au projet du Parti Fédéraliste Européen.

Le bureau de ce parti est composé de Pietro De Matteis (co-président), Yves Gernigon (co-président), Hélène Feo (vice-présidente), Nico Segers (trésorier) et Jan Van Arkel (vice-président). Le Dimanche 6 Novembre, les membres de la convention ont adopté les Statuts du parti.

mardi 16 novembre 2010

NOUVEAU SITE DE L'ANTENNE CHAMPAGNE-ARDENNE

Pour suivre l'actualité de l'antenne Champagne-Ardenne du Parti Fédéraliste, allez désormais sur notre site
http://www.lesfederalistes.eu/champagneardenne/index.html

lundi 25 octobre 2010

Le PF dans l'Union. Paris ne doit plus décider à notre place.

 Châlons a été désignée préfecture de la Marne sous la révolution puis capitale régionale à la création des régions pendant l'après-guerre. Cette décision typiquement jacobine, prise au mépris de la démocratie et de notre région, manifeste la volonté de l'Etat-Central d'affaiblir la Champagne-Ardenne.
Quand avons-nous eu le choix quant à notre capitale régionale? Jamais.
Cela doit changer! Le débat et la décision du suffrage universel, doivent avoir lieu sur ce sujet! L'Antenne de Champagne-Ardenne du Parti Fédéraliste préconise le choix de Reims comme capitale régionale. Mais nous ne choisirons rien si on ne nous laisse pas voter!
Il faut décentraliser le pouvoir et les finances vers les régions afin que les citoyens des régions décident de leur destin.




Réaction aux Articles Parus dans l'Union

L'objectif du Parti Fédéraliste n'est pas de monter les villes les unes contre les autres. Ce qui ne va pas avec Châlons, c'est que c'est Paris qui a pris seule a décision de la mettre, et de la maintenir, comme capitale régionale, au mépris de toute logique historique et régionale et de façon totalement antidémocratique. C'est le préfet qu'il faut supprimer. Les préfets sont la mainmise de Paris sur les régions. Ils décident de tout sans que les citoyens des régions aient leur mot à dire. Le préfet est, par essence, un personnage antidémocratique.
Nous demandons la mise en place d'un vote  pour que notre région décide seule quelle sera sa capitale régionale! Nous préconisons que Reims devienne capitale, mais l'essentiel, c'est que les Champenois décident, et non plus Paris à leur place.

Pour nous contacter:
pfchampagneardenne@yahoo.fr
le délégué régional, Clément Petit au 06 75 59 25 46

Pour lire les articles de l'Union:
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/capitale-regionale-si-reims-detronait-chalons

Le PFCA